[ La belle de nuit ] [libre]

ExplOsiOn de jOie dans le petit cOeur de nOcturne,
Une jOie immense et incOntrOlait qui,
chaque jOur ce renOuvelait tOut cOmme cet déceptiOn qui s'en suivait.
Mais l'heure était au retrOuvaille tant attendue,
celle entre la belle de nuit et sa reine : la lune.
cOnfessiOn s'épanOuissait a la manière d'une fleur nOcturne
qui retrOuvait sa raisOn de vivre, sOn eau, sa nOurriture.
Du haut de la cascade bOuillOnnante, elle Observait l'ascentiOn de l'astre lunaire.
La belle, la princesse prenait pOssétiOns du ciel avec ses fidèles
cOmpagnes brillantes : les étOiles.
Quant a la nuit, elle envahissait les terres aussi vite
que les rayOns du sOleil faisait leur hOrrible besOgne.
Satisfaite, la petite nOcturne entreprit de descende de la pente abrupt.
Elle arriva finalement en bas d'un bOnd sOuple digne d'un félin.
De sa démarche sOuple et élégante, tOut cOmme arrOgante et déterminer,
elle s'avança vers l'eau mOuvante qui glOuglOussait jOyeusement.
La jument plOngea sOn museaux velOuté dans l'eau cristalline,
et s'abreuva sOus la caresse lunaire, prOfitant de cet instant de plénitude.
lOrsqu'elle Ouvrit les yeux, l'eau qui était agité
lui renvOya l'image d'une fleur, une rOse rOuge éclatant sOus des rayOns
jaunes, rayOns brulants ...
Puis le tOut se trOubla et lui renvOya l'image d'elle même pOuliche
jOuant insOuciamment a mener des explOratiOns secrètes.
Puis elle ferma les yeux et lOrsqu'elle les rOuvrit,
elle se vit ses grands yeux sOmbre équarquillée,
encOre un effet de sOn imaginatiOn ... Peut être

Un bruit de pas se fit entendre,
la caresse des sabOts sur cette terre incOnnue.
La nuit, la pénOmbre la prOtéger du danger,
enfin, La lune semblait ne pas éclairé cette partie du mOnde
Ou se fOndait sOn cOrps et la nuit ...
dOuce caresse, savOureuse ...
Elle releva la tête, laissant l'eau dégOulinait le lOng de sOn pOitrail,
les Oreilles en avant le regard plus dure que jamais,
scrutant le mOindre mOuvement dans cet Obscurité prOfOnde.

Un claquement sinitre retentit, se détachant de se décOr
par tant de viOlence, cOnfessiOn entendit un rauque dure,
Puis a sOn tOur hennit viOlement et pOurtant avec beaucOup de nuance,
envOutante ... cOmme le chant de siriènes qui menèrent Ulysse a sa perte.
Elle s'avança les Oreilles désOrmais plaqué cOntre sa nuque,
les muscles frémissant sOus sa peau fine et satinée ...

- Qui que tu sOis tu ne me fais pas peur ...
mOntre tOi

l'Odeur en présence était celle d'un stalliOns mais lequel ?
Elle repéra les cOntOurs indistinc d'un stall',
elle était de 'bOnne humeure' mais la méfiance était sa première qualité

La jument fut quelque peu étOnné de sa réactiOn,
mais de sOn trOuble, rien ne parut ...
L'étalOn qui semblait impOsant et, par sa carrure
et par sa fOrce d'esprit, se plaça en face d'elle,
La jument put sentir le souffle chaud du stall'
mais elle ne s'y fit pas tOujOurs aussi ... arrOgante et téméraire.
Avec du défi dans sa vOix,
elle leva la tête, ses iris dOrée brillant d'une sOudaine lueure dorée.

- Les Peureux ne sOnt rien d'autre que des lâches.
Et par cOnséquents des traîtres

Sa vOix cristalline et déterminai s'élevait de manière
élgégante au dessus du bruit de la cascade.
Elle ne put retenir un sOurire, sOn père ...lui avait léguer se répOndant
et se caractère a tOute épreuve ...
Puis il la questiOnna, elle frémit un instant devant l'affrOnt qu'il venait de lui faire,
puis elle décida de jOuer avec sa ...
Elle ? Une $tarlost ? Jamais, nOn cmmet pOuvait-il crOire sa ...
De tOute lamaitrise dOnt elle put, elle leva a tête et plOngea sOn regard illuminé dans le sien
avant d'articuler bien

- Et si je le suis ? Tu me tueras ?

Elle laissa ses parOles flOttées quelques instants
avant de secOuer sa belle crnièe sOmbre

- Cependant, tu ne pOurras pas assOuvir tes envies de sang se sOir
sur mOi ... Je suis une Night

Elle guetta l'Obscurité scrutant la mOindre réactiOn

L'étalOn semblait prendre ses remarques d'ne manère philOsOphique,
en vérité, elle l'étaient mais epu de cheval savait les prendre de cette manière.
Un petit sOurire satisfait semblait prendre pOssétiOn de sOn frêle visage.
La lune se mit alors subitement a éclairer
les deux interlOcuteur. Malgrès l'Obscurité encOre présente,
la belle put regarder attentivement le stalliOn gris,
spervec ds cOurbes hOrs nOrmes,
semblant puissant et virile, un dOs musclée peut être des jarrets un peu vacillant,
une bête de sang alOrs ... Elle ne put s'empêcher d'esquisser un sOurire.
Une expressiOn butée sur le visage,
elle acquiessa les parOles de niGht,
mais pOur bien mOntrer que la mOrt de n'affOllez aucunement,
elle cOntinua sa phrase, ses yeux nOires rivés sur ceux du stalliOn.

- Une mOrt lOngue et dOulOureuse
s'en serait suivit

Elle vit les Oreilles du stalliOns se plaquait,
dans un même mOuvement de défense,
nOn pas par pur mais par pure défense,
elle rabattit ses Oreilles sOmbre cOntre sa nuque
et jeta un regard haineux sur le envirOns,
ces jOurs dans le désert l'avait fOrmé au cOmbat et ses 5 cinq sens
étaient plus dévellOppéque la nOrmale,
elle repéra rapidemnt le cheval ...
Un lOng silence s'installa ... Que la belle de nuit rOmpi par un claquement sec de dent

Le cheval ne semblait pas d'accOrd avec ses parOles,
pOurtant, elle était cOnvaincu que c'était vraie ...
EndehOrs du fait de sadisme que cet 'actiOn' entraînait,
le plaisir de vOir quelqu'un se tOrdre a vOs pied exprimant
peur et désOlatiOn, en dehOrs de tOut sa l'esprit de cOntradictiOn
apparaîssait de plus en plus ... Enfin pOur elle,
cOnfessiOn ne suppOrtait pas qu'On lui dOnne des Ordres
aussi si On implOrait sa pitier en lui OrdOnnant d'abréger ses sOuffrances,
elle se ferait un plaisir d'allOnger la mOrt du cheval.

Mais la questiOn n'était pas là et,
encOre une fOis, les pensées débOrdante de la belle
lui avait fait qitter un instnt sa pOsture de défense.
Elle se mOrdit 'intérieur de la bOuch,
même pOur une fractiOn de secOnde,
cela était une très grave erreur.
d'ailleurs elle se redressa subitement,
ses yeux sOmbre luisant d'une lueure de défi,
tOut en elle reflettai une prOvOcatiOn,
de sa ligne de cOrps arrOgante de beauté,
a cet air butée qui s'affichait sur sOn visage fin ...
Elle était une une princesse du désert et pOrté cela avec
grandeure et fierté apparente ...

Mais là n'est tOujOurs pas la questiOn,
ayant retrOuver sOn air habituel hargneux et désabusée ...
=D . L'alezan avait franchit se quelle appellez sOn espace vitale,
sans qu'elle s'en rende cOmpte ce qui lui arracha un cabré de quelques centimètre,
certes dégageant viOlence et hargne ...
Mais Silver - bien qu'elle ignOre sOn nOm -
prOnOnça les mots justes lui demandant qui il était